La place de l’EPS dans l’éducation à la santé est trop fréquemment considérée comme un allant-de-soi : « il faut une pratique physique pour être en bonne santé ».
Pour dépasser ces points de vue restrictifs, il convient d’envisager la place de l’EPS dans différentes dimensions : physiologique, corporelle (plaisir, lutte contre la sédentarité, contre le surpoids, connaissance de soi, de ses limites, de ses possibilités…), psycho-sociale (dimension relationnelle, appartenance et estime de soi…).
L’EPS initie au plaisir de la pratique sportive pour donner aux élèves l’envie d’entrer dans les apprentissages, de pratiquer en dehors de l’école et plus tard dans leur vie d’adulte. Il s’agit de penser l’éducation à la santé en et par l’EPS.

Le parcours santé dans le projet d’école

Partages de classes : Augmenter l’activité physique dans le quotidien des enfants

Le petit déjeuner  : Des petits déjeuners dans les écoles pour favoriser l’égalité des chances
Le sommeil : Les enfants sont en déficit de sommeil et cela nuit à leur capacité de concentration, d’apprentissage et de maîtrise de soi. Des chercheurs et médecins spécialistes du sommeil se sont associés à des enseignants et des dessinateurs pour créer un programme pédagogique, qui s’appuie sur le volet "questionner le monde" du programme de cycle 2, visant à expliquer le sommeil aux élèves : Apprendre le sommeil à l’école avec Mémé Tonpyj